"zones grises"

"Zones grises" est un concept dont je viens de prendre connaissance et qui a trait à ce qui est considéré comme des agressions par l'autorité centrale des États, agressions informatiques - je ne dirai pas iraniennes, russes ou chinoises, car après l'avoir avancé, cela peut ensuite être démenti au moins en partie par des "fact cherckers", notamment tout dernièrement concernant une prétendue ingérence iranienne dont on a admis avoir trouvé peu ou pas d'indications probantes - guerrières - devrais-je spécifier africaines - psycho-sociales sous forme de rumeurs partout dans le monde. contre lesquelles on pose des mesures défensives ou qu'on se prépare à combattre. Pourquoi? Vous me direz parce qu'elles ont déjà été reconnues comme étant des actes hostiles envers l'État. Ah! Et peut-on, nous, les citoyens-nes gobeurs de "vérités" toutes faites, savoir sur quelles bases et pour quoi? Non. On nous considère vraiment comme des quidam qui ont une confiance aveugle aux experts, surtout américains, les Services secrets et la CIA qui collaborent entre eux pour prendre la même position et dire exactement la même chose. Mais quoi? Nous, on ne sait pas. Personne ne se commet pour livrer leurs estimations au jugement des citoyens-nes d'ici ou d'ailleurs.

Mais où est le bonheur? Où est la démocratie? Définitivement antidémocratique.

Personnellement, je pense que l'on devrait d'abord et pour chacune d'elles se demander non seulement quelle est la cause de cette "agression" mais aussi quel en est le fondement et voir si elle est légitime, et ensuite découvrir si son origine est nationale ou pas, auquel cas elle perd en légitimité. 

Cliquez sur

Zones grises et discours médiatique américain

Là est toute la question. Car les invités des animateurs et animatrices des médias télévisuels américains avancent souvent des hypothèses, sans signaler que c'en est, pour ensuite se dédire en tout ou en partie quelques jours plus tard en ayant découvert, via le FBI ou les Services secrets, que ces avancées n'étaient pas ou étaient mal fondées.

C'est trop souvent la tendance des médias télévisuels américains.