Les cocasseries à la plage, et autres épisodes

 

 

 

 

 

L'un des plaisirs de la plage: le château. Ou ici, la forteresse de Josiane et sa mère avec ses tours de garde aux quatre coins.

Spécificité: cette forteresse est amphibie puisque sa grande porte s'ouvre sur la rive.

Néanmoins, en attendant, elle est agrémentée d'arbres offrant un peu de fraîcheur.

Une première histoire de pêche.

 

Ce n'est pas un fait cocasse mais ce petit garçon de 6 ou 7 ans, l'autre jour, à la plage, équipé de bottes de caoutchouc et d'une grande épuisette, qui lançait avec une habileté d'adulte sa ligne dans le bassin a retenu mon attention plusieurs minutes.

À un moment il a délaissé le bord de l'eau pour parcourir un étroit muret qui a déjà constitué la base d'un barrage pour contenir le cours d'eau en se rendant jusqu'au bout, toujours en lançant sa ligne de canne à pêche d'adulte dans le bassin. Enthousiaste, il paraissait déjà à ce jeune âge avoir trouvé une passion dans ce loisir. Pétillant de joie, il s'exclamait à l'adresse de sa mère: M'man, regarde je vais attraper un gros brochet. 


Aussi, cette semaine...

 

Bernaaard!  Amène! Amène ça ici, Bernard!

 

Je regardai autour et ne voyais personne d'autre que... celui-là qui s'agitait autour du frisbee.

 

Remarque: Je ne me souviens plus de ce que mon père avait dit à ce sujet... une vieille et occasionnelle tradition... Et ici, si vous n'avez pas cette possibilité de vous situer avec empathie entre le sarcasme et l'ironie, sans hostilité véritable, abstenez-vous de juger.


La semaine dernière, il y avait des familles et donc bien des enfants sur la plage. Interrompant ma lecture pour regarder ce qui se passait autour, je constatai que les plus grands étaient dans l'eau et les plus jeunes dans le sable. Trois enfants, dont deux autour de 3 ans, pelletaient du sable avec une toute petite pelle de plastique. L'une d'entre eux, au lieu d'être assise, était pliée en deux, penchée vers le sable qu'elle remuait avec attention. Mais voilà que sa jupe de jeans, sans doute trop grande, descendait complètement lorsqu'elle se penchait. J'ai d'abord pensé que c'était le bas de son dos... mais non, sa position découvrait une petite paire de fesses blanches pendant plusieurs minutes. Quand elle se redressait, la jupe remontait et recouvrait son derrière; elle se repenchait devant et la jupe, comme tirée par devant, redescendait au bas des petites fesses. Me suis bien retenue de pouffer de rire.

Si je n'avais pas été seule sur la plage, à part cette famille, je l'aurais mentionné à sa mère qui était occupée à amuser le bébé de sa belle-soeur.

 

Autres cocasseries de plage sans doute à venir...