Quand l'absolution change de camp

Bien que je n'aie pas encore pris le temps de le faire depuis ;la parution de la nouvelle, je voulais tout de même m'exclamer: Quel phénomène tout de même que celui de l'histoire de l'Église catholique romaine!  Et que dire de l'emprise qu'elle a encore sur certains adeptes de son Église!  À cet égard, il vaut la peine d'écouter jusqu'à la fin le reportage du 6 octobre dernier, joint ci-bas, de Marie-Ève Bédard, reporter de Radio-Canada, pour entendre des gens d'une magnanimité innommable dire que "nous sommes tous pécheurs" et devons donc pardonner... !!!  Les limites de l'apparent pardon qui n'est que déni sont ici atteintes en tombant dans l'inconscience et l'amoralité. Cela, alors que tous, nous assistons depuis quelques décennies maintenant au révoltant spectacle de la révélation d'actes sexuels subis par des enfants, des garçons la plupart du temps, de la main de membres, et aussi de laics, oeuvrant à l'intérieur de l'Église catholique. Au Canada, aux États-Unis, en Angleterre, en Irlande et maintenant 300 000 victimes en 70 ans en France. Combien depuis les débuts de cette Église? J'atteins mes limites; j'ai le tournis.

Cela - ce serait un sérieux défaut de l'esprit de l''oublier - après le massacre européen du Moyen-Äge à l'encontre de pauvres gens, la grande majorité du temps, envoyés en fumée sur l'autel de préjugés et de visions dogmatiques et cruelles par de hauts représentants du pape catholique romain!

À noter qu'il a été déclaré impossible de connaître le nombre de ces victimes estimé à 100 000, vu que l'Inquisition, dite espagnole, a eu lieu dans maintes localités, villes et villages des pays d'Europe à travers les siècles.

Vous vous dites que c'est bien trop ancien pour qu'on s'en souvienne? C'est bien sur cela que compte cette institution millénaire. Ah! catholique, la maléfique!