Et la transparence démocratique alors!

Le-a citoyen-ne le moindrement averti doit convenir que l'endroit, s'il n'y en a qu'un, ou doit prévaloir la transparence est bel et bien celui de ceux et celles qu'ils ont élus-es et de ce qui les concerne. 

Cependant, Dominique Anglade, que j'aimais bien, semble, elle, croire que c'est son autorité qui doit prévaloir devant le comportement présumé de quelques membres de sa députation libérale, et son jugement dont elle ne semble pas critiquer l'arbitraire, puisqu'une enquête nécessaire n'est pas encore annoncée.

Cette conception de son rôle de cheffe de parti semble être acceptée par des chroniqueurs politiques bien timorés devant ce qui se passe à l'Assemblée nationale, toutes et chacune de ces attitudes desservant certainement l'intérêt public et la démocratie québécoise.