A-t-on encore le droit...

Mathieu Bock-Côté, dans sa chronique La femme, supérieure à l'homme du 18 décembre dernier - que vous pouvez lire ci-bas si intéressé,e - démontre que du discours public ambiant émane un deux poids, deux mesures selon que l'on parle des capacités et comportements de femmes ou d'hommes. En effet, tous s'entendent pour dire qu'à peu près toutes les cultures ont ignoré pendant des siècles les capacités des femmes à remplir bien des fonctions dévolues aux hommes en les reléguant à l'arrière-plan de la vie publique et du pouvoir de décision sociétal.

Seulement, dites-moi, a-t-on encore le droit de dénoncer des comportements patents inacceptables, lorsqu'ils viennent de la gente féminine, sans susciter des animosités?