Je ne voulais plus écrire sur ce sujet. Délicat, socio-politique. Si campé dans ses positions.
Mais qu'est-ce que, déjà, j'écrivais dans ma première chronique sur ce président ? Que la fin justifie les moyens? Voilà ce que les propos du Président illustre encore : la peur du migrant, des ethnies, la justification du droit aux armes, le discrédit porté sur les médias... que sais-je encore ?
Un autre commentaire auquel je pensais dès le début de sa présidence: par quels lobbys Donald Trump a-t-il été élu ? Celui des armes ? Oui, probablement. Entre autres. Celui des suprémacistes blancs ? Peut-être... Et par quel autre lobby encore ? Celui, plus légitime, de l'industrie du pétrole ou des mines ?
Vraiment, les Américains doivent remettre en cause le pouvoir de l'argent qui élit leurs présidents.
Jusqu'à quel point ne peuvent-ils pas remettre en question leurs façons de faire? J'ai bien peur que ce ne soit jusqu'au bout d'eux-mêmes.
Addendum : Le rêve de n'être que des Blancs aux États-Unis d'Amérique? Manqué. Les Américains blancs reconnaîtront-ils que le temps est venu pour eux d'accepter la réalité et surtout de voir que les gens immigrés, chez nous ou ailleurs, instinctivement, par une sorte d'intelligence sociale additive, comblent, lorsqu'intégrés, les défauts et faiblesses de la nation qui les accueille?